samedi 21 mars 2009
D'un coucher de soleil à l'autre...
vendredi 20 mars 2009
Au pays des coccinelles
Nous ne nous sommes pas arrêtés à Acapulco; ce que nous avons vu en traversant la ville à pas de tortue ne nous a pas assez plu.
mercredi 18 mars 2009
Al norte vamos...
16 mars –lundi – Le retour sur la Côte Pacifique
Puerto Angel, Oaxaca (256 km, 17526)
Le retour sur la 175 fut moins pénible et plus rapide (6 heures). A cela s’ajoute une heure pour le ravitaillement (essence et gaz) et des achats d’artisanats de l’état : la poterie noire à San Bartolo Coyotepec et l’iguane d’Annick à San Martin Tilcajete.
On retrouve la piscine du camping Rancho Los Mangos à Puerto Angel (pour une troisième fois) et les petits restos du village juste derrière.
17 mars –mardi – La route des palmiers !
Cuajinicuilapa, Guerrero (263 km, 17789)
On reprend la route vers le nord (la 200). Belle (les paysages, les palmiers) mais sinueuse et comme d’habitude pleine de topes qui nous ralentissent beaucoup. En plus de trois contrôles militaires dont le dernier où le militaire a failli demander à Victor de lui jouer une « toune » de Banjo. Heureusement qu’il a refusé sinon nous serions probablement en prison !
Puis, nous nous arrêtons dans un hôtel (Blejim) dans un bled qui se nomme Cuajinicuilapa dans l’état de Guerrero. Eh oui, nous avons quitté l’état de Oaxaca après y avoir séjourné pendant un mois.
Nous sommes à environ 200 kilomètres d’Acapulco que nous espérons atteindre demain. Inchala !
18 mars –mercredi – On profite des palmiers !
Pie de la Cuesta (Acapulco), Guerrero (219 km, 18008)
On voulait voir si la route s’était améliorée depuis le passage de Claude et Nicole qui avait compté près de 200 topes. Nous on en a compté près de 250. Par contre, pas d’animaux sur la route, donc l’appel de Claude à l’effet de mettre de l’ordre a été entendu.
Après la route des palmiers, nous profitons du camping plein de palmiers. Nous sommes directement sur la mer, il fait chaud alors on en profite car la remontée vers les USA devra se faire en une trentaine de jours. Pour la première fois, nous faisons une planification serrée des prochaines semaines, question de ne pas dépasser notre permis de séjour.
mardi 17 mars 2009
lundi 16 mars 2009
Ils sont partis (sniff, snigg)
14 mars –samedi – Le souper d'adieu
Oaxaca, Oaxaca (0 km, 17270)
Victor ayant passé une très mauvaise nuit et n’étant pas en forme, c’est à trois qu’on attaque le marché du samedi de Oaxaca. Complètement démesuré. On y a passé plusieurs heures et on n’en a vu qu’une partie. Pas beaucoup d’air ni d’espace entre les étals de marchandise mais encore une fois de la vie à revendre. On a rien acheté et le plaisir des yeux est gratuit.
Aujourd’hui, c’est la fête au village : « la noche de las luces » mais en fait c’est plus de la musique que de la lumière. Avant de rentrer à l’hôtel, on fait un petit détour vers le zocalo pour voir un spectacle de danse d’écoliers de plusieurs états. Assez amusant.
Après avoir dormi une bonne partie de la journée, Victor est assez bien pour qu’on puisse sortir à quatre pour profiter du souper offert pas nos visiteurs à La Casa Oaxaca. On mange sur la terrasse du toit avec vue sur le concert de l’orchestre symphonique de la ville et par la suite, un feu d’artifice (quelques fusées). Le meilleur bœuf mangé depuis septembre.
Et on rentre … pas trop tard car les visiteurs doivent se lever tôt demain.
15 mars –dimanche – Une dernière journée à Oaxaca
Oaxaca, Oaxaca (0 km, 17270)
C’est dimanche et Bulle est enfermée dans son stationnement. On reste donc jusqu’à lundi même si Anne-Marie et Fredi sont partis tôt ce matin (snif snif). On en profite pour refaire le tour de nos rues préférées, visiter deux musées que nous n’avions pas vus ( le musée Benito Juarez et le musée du Palacio), écouter un concert dans le zocalo et gouter un(ou peut-être est-ce une) pozole, sorte de grande soupe bien copieuse à base de maïs, viande, piment, avocat, chou, radis. Verdict : c’est bon.
C’est de loin notre plus long séjour dans une ville ; on en a bien profité. Le coup de cœur de Victor depuis le début de son voyage, c’est sa semaine de cours.